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Europak plastikozko zorroak murrizteko lege epel bat onartu du

zabalgarbi plastikoak 2015-02

Iturria: ARGIA.[Pello Zubiria Kamino] Europako Legebiltzarrak apirilaren 28an onartu du erabilera bakarreko plastikozko zorroak %80an murriztea hamar urte barrurako, 2025rako. Legearen arabera europar bakoitzak 2010ean plastikozko 175 zorro erabili eta bota baldin bazituen, 2025ean gehienez 40 usatuko ditu gehienez. Erdibideko helburua markatu da 2019rako: %50eko murrizketa, urteko eta biztanleko 90 zorro.

Murrizketatik kanpo utzi diren arren 15 mikra baino meheagoko poltsak -dendetan fruituak eta barazkiak biltzeko erabiliak- Europako Parlamentuko Berdeen taldeak txalotu du lege berria, Legeiltzarrak, Europako Batzordeak eta Europako Kontseiluak kontsentsuz lehenbiziko aldiz onartu dutelako derrigor lortu beharreko helburua.

Legeak dioenez, helburua betetzearen alternatibatzat gobernuak posibleko dute behin erabiltzeko plastikozko zorroei prezioa jartzea, doan banatzea debekatuz.

Euskal Herritik Zero Zabor IBEk Twitterrez nabarmendu du Europako Legebiltzarrak epel jokatu duela: “10 urte? Eskozian jadanik lortu dute %80 murriztea. Besteak tontoak ote gara 10 urte behar izateko?”. 2014ko urrian Eskoziako Gobernuak erabaki zuenetik komertzioek bezeroei 5 peniketan (euroaren 7 zentimo) saldu behar dizkietelazorroen kontsumoa %90an jaitsi da, Herald Scotlandegunkariak zabaldu duenez. Eskoziako Zero Wastek gune honetan eskaintzen ditu Gobernuak eta merkatarien elkarteek adostu duten kanpainaren zertzeladak. Britainia Handian Galesen ere zorroak kobratzeko derrigortasuna ezarrita dago.

Ucrania,¿cuando el proximo Chernobyl?

http://www.letemps.ch/Page/Uuid/cc71ea44-ddf6-11e4-aa18-ff4de01147fa/Nucl%C3%A9aire_ukrainien_%C3%A0_quand_le_prochain_Tchernobyl

  Dans un pays exsangue miné par la guerre, la sécurité nucléaire passe au second plan. Or, les centrales ukrainiennes ne répondent pas aux exigences minimales de sûreté. Sans argent, sans volonté politique, sans personnel qualifié, l’Ukraine – et l’Europe – s’achemine vers la catastrophe. Parole d’expert en sécurité nucléaire, le Russe Vladimir Kouznetsov

   Les derniers événements en Ukraine et la déstabilisation du pays qui en découle rendent indispensable une évaluation des nouvelles menaces globales liées à la sécurité nucléaire et à la radioprotection des installations nucléaires situées sur le territoire ukrainien.

   Quinze tranches (unités de production) nucléaires sont en activité en Ukraine, soit deux tranches avec des réacteurs de type VVER-1000, mises en service en 1987 et 2004 dans la centrale de Khmelnitski (où deux autres tranches identiques sont encore en construction et devraient commencer à être exploitées en 2015-2016); quatre tranches (mises en services en 1980, 1981, 1986 et 2004) avec des réacteurs de type VVER-440 dans la centrale de Rovno; trois tranches (mises en service en 1982, 1985 et 1989) avec des réacteurs VVER-1000 dans la centrale d’Ukraine du Sudet six tranches (mises en service en 1984, 1985, 1986, 1987, 1989 et 1995) avec des réacteurs de type VVER-1000 dans la centrale de Zaporijia. Une planification de production est mise en place dans six de ces tranches nucléaires.

L’exploitation des tranches nucléaires en Ukraine n’est pas satisfaisante. Le retard dans l’exécution des stress tests, prévus parmi les mesures de l’après-Fukushima, est dû au financement insuffisant de l’industrie nucléaire. Pour cette même raison, les délais d’exécution du programme d’amélioration de la sécurité des centrales nucléaires sont toujours retardés. Et cela alors que l’Europe entière a effectué depuis longtemps de tels tests sur ses centrales nucléaires.

Actuellement, l’atteinte des coefficients de sécurité planifiés est entravée pour deux raisons: le gouvernement comprend mal l’importance de leur application, d’une part, et de l’autre, le financement d’une série de programmes est insuffisant ou fortement retardé: en particulier le programme de prolongation d’exploitation des centrales nucléaires en activité au-delà des délais impartis, le programme de modernisation et d’augmentation de la sécurité des centrales, le programme d’investissement pour le développement d’Energoatom (la compagnie nationale de production d’énergie nucléaire d’Ukraine), pour ne citer que ceux-là.

Le complexe scientifique et technique d’Ukraine n’en est qu’au tout début de son développement. L’industrie nucléaire ukrainienne ne pourra être sauvée d’une dégradation complète – celle-ci ne faisant que s’accentuer – que si elle parvient à mobiliser l’attention des hauts dirigeants du pays et si des mesures décisives sont prises en conséquence par la Russie pour alerter la communauté internationale sur la crise imminente qui guette l’industrie nucléaire en Ukraine.

Les menaces pour les générations futures de toute l’Europe sont bien réelles et clairement illustrées par le sort de la centrale nucléaire de Tchernobyl. Celle-ci a cessé son activité, mais le budget ukrainien continue de lui allouer (et ceci sans qu’on y voie de fin) d’importantes sommes pour son entretien. Et cela ne concerne pas seulement les problèmes de l’unité de secours. Le problème de la gestion des déchets radioactifs et de leur transfert vers un dépôt d’Etat n’est toujours pas résolu; de même que celui de l’entreposage de combustible nucléaire irradié.

Plus de treize ans après l’arrêt définitif de ses unités de production, la centrale nucléaire de Tchernobyl reste dans le fond un objet nucléaire désorganisé. Les activités liées au traitement des déchets radioactifs, à la gestion du combustible nucléaire usé et à leur évacuation de la centrale nucléaire ne sont jusqu’à présent toujours pas séparées de l’activité d’exploitation de la centrale. La centrale n’est pas dirigée par une administration d’Etat professionnelle comme le requiert la législation sur l’industrie de l’énergie nucléaire.

Aujourd’hui, l’énergie nucléaire en Ukraine est quasiment le seul secteur qui puisse assurer la sécurité énergétique du pays et soutenir l’économie en la préservant d’un effondrement total.

Le remplacement du combustible nucléaire russe par du combustible nucléaire américain dans les centrales nucléaires d’Ukraine découle d’une opportunité politique, mais personne ne s’interroge, arguments scientifiques à l’appui, sur la sécurité nucléaire et économique du pays.

Bien que le processus de construction de nouvelles tranches dans les centrales nucléaires soit arrêté, l’état d’avancement du projet de construction d’un centre d’entreposage destiné aux combustibles nucléaires usés des centrales nucléaires ukrainiennes est également insatisfaisant.

Le développement d’une ingénierie nucléaire propre ne suscite pas l’attention qu’il faudrait. L’Ukraine, qui ne possède pas de technologies nucléaires propres et qui ne construit pas de réacteurs, pourrait passer d’une position d’avant-garde aux derniers rangs des pays désireux de développer l’énergie nucléaire.

Pour ne rien arranger, la culture de sécurité dans les centrales nucléaires est faible. Comme du temps de la catastrophe de Tchernobyl, on assiste à une course à l’augmentation de la production d’énergie électrique.

L’Ukraine n’a ni gaz ni pétrole, et le charbon est extrait dans le Donbass, qui est empêtré dans la guerre.

Actuellement, les centrales nucléaires d’Ukraine produisent 50% de l’électricité du pays et fonctionnent au maximum de leur capacité. Mais le gouvernement a pris une décision radicale pour les années 2014 et 2015 visant à augmenter la production jusqu’à 65%, et ce malgré le fait que six unités aient déjà terminé leur programme de production. Pour quelle raison? Pour pouvoir réduire le temps de l’opération de maintenance; celle-ci est effectuée uniquement lors de l’observation d’un défaut dans l’installation, et non pas dans un but préventif, comme l’exigent les règlements technologiques des centrales nucléaires.

La situation est également préoccupante en ce qui concerne la formation des cadres de l’industrie nucléaire. L’Université nationale de l’énergie nucléaire et de l’industrie de Sébastopol, qui formait autrefois les exploitants d’installations nucléaires d’Ukraine, se trouve maintenant en territoire russe. Il ne reste plus que l’Université nationale polytechnique d’Odessa qui ne peut pas former tous l’éventail des spécialistes de l’industrie nucléaire.

Il est indispensable d’attirer l’attention de l’opinion publique européenne et du gouvernement ukrainien sur l’état de l’administration de l’énergie nucléaire. La complexité des missions qui lui incombent exige des efforts considérables de l’organe administratif chargé de l’industrie nucléaire du pays, une attention et un contrôle constants de la part des organes dirigeants de l’Etat, ainsi qu’une définition claire des rôles et des responsabilités de toutes les parties impliquées dans ce processus. Dans tous les pays qui possèdent l’énergie atomique, les dirigeants de l’administration chargée de l’industrie nucléaire ont un accès direct aux premiers dirigeants du pays et sont choisis exclusivement en fonction de leur professionnalisme et non pour des motifs politiques.

L’existence d’une industrie nucléaire en Ukraine n’est possible qu’avec la création d’une infrastructure nationale à grande échelle qui garantirait tous les aspects de sécurité à toutes les étapes du cycle de vie de l’installation nucléaire. Sans une telle infrastructure, toute exploitation est impossible, de même que la réalisation d’un projet national d’énergie nucléaire en collaboration avec les fabricants d’installations de réacteurs du monde entier.

Les centrales nucléaires en activité en Ukraine ont été construites sur la base du seul système d’infrastructure sécuritaire existant en URSS.

Au cours des deux dernières décennies, le pays a créé son propre système national de soutien organisationnel et technique pour épauler l’exploitation des centrales nucléaires. Mais pour répondre à la plupart des questions de sécurité nucléaire, l’Ukraine est obligée d’attirer des scientifiques – spécialistes et ingénieurs – d’autres pays, et principalement de la Fédération de Russie.

L’exploitation future de centrales nucléaires et la garantie d’une sécurité nucléaire et écologique en Ukraine sont impossibles sans la coopération de la Fédération de Russie, étant donné que c’est justement là que se concentrent les ressources en matière de recherche scientifique et d’ingénierie. Sinon, il faudra que la Russie renonce à endosser toute responsabilité quant aux accidents et catastrophes nucléaires susceptibles de survenir en Ukraine à l’avenir.
Traduit du russe par Natacha Stroot

 

 

Ondarroako Udalak lau urtean egindako lanaren balorazioa

Ondarruko portua 24-10-2012

   Lau urtean Ondarroako Udalak bide ona hartu du gure inguru naturala zaintzeko, baina gauza asko daude egiteko oraindik herri ekologiko bat lortzeko.

BATZORDEA MARTXAN. Duela lau urte udaleko ingurumen batzordea berriro martxan ipini zen. Erabaki ona izan zen, bertan batzen garelako ingurumenarekin arduratuta gauden herritarrak, arazoei irtenbideak topatzeko. Hurrengo lau urteetan ere batzordeak martxan jarraitzea eskatzen dugu.

GARRAIO EKOLOGIKOAK. Udalak bizikleta aparkalekuak ipini ditu herriko txoko askotan, eta Alde Zaharreko zati bat oinezkoentzat egokitu du. Halandabe, herri barruan bizikletan ibiltzeko arazo handiak daude oraindik. Horregatik, udalari eta Eusko Jaurlaritzari (Hezkuntza Sailari) eskatu diegu erreka alboko bidea libre lagatzeko zaharren egoitzatik liburutegira, bidegorria egiteko.

HONDAKINAK ETA ZAMARRAK. Oso gutxi birziklatzen dugu ondarrutarrok. %30 baino gutxiago. Beste zamar guztiak erreta eta zabortegietan amaitzen du. Lau urtean udalak pauso batzuk eman ditu egoera horri buelta emateko (batzarrak, konposta, nahi dutenei hondakin organikoak etxe aurrean jasotzea). Halandabe, hurrengo urteetan pauso handiagoak eman beharko dira, beti be herritarren berba kontuan hartuta. Birziklatzea herritar denon eskubidea eta betebeharra da. Kutsatzea ezin da izan eskubide bat.

ATXAZPIKO ZABORTEGIA. Legegintzaldiko berririk pozgarriena izan da guretzat. Urte askoan eskatzen egon gara, eta behingoz udala Atxazpiko zabortegia berreskuratzen hasi da. Urteetan ardura barik bota ditugun zamarrak Atxazpitik itsasora jausten ari dira, eta udalak neurriak hartuko ditu horri aurre egiteko. Ikusten denez, zaborra ez badugu birziklatzen, ez da desagertzen, zabortegietan amaitzen du eta arazoak ematen hasten da.

LARRUSKAINGO BASOA. Urteetan pinua egon den lekuan hamabost hektareako baso autoktonoa landatzen hasi da udala elkarlanean eta auzolanean. Biodibertsita-tea zaintzeko bidea hori da. Gainera, herrian edaten dugun ura bertatik hartzen dugunez, denoi egingo digu mesede basoak. Udalari eskatzen diogu bide horretan jarraitzeko, lurrak erosi, babestu eta bertoko basoa landatzen joateko.

ENERGIA AURREZTEA. Udalak pausoak eman ditu kaleko argietan energia aurrezteko. Farolak beranduago piztu eta arinago amatatzen ditu. Erabaki egokia da, baina energia aurrezteko pauso gehiago eman behar dira. Adibidez, monumentuen argiak azkarrago amatatzea eta gutxiago kontsumitzen duten LED argiak ipintzea. Auzo batzuetan LED argiak ipini ditu, baina guk herri osoan ipintzea eskatzen dugu. Energia berriztagarriak ere bultzatu behar dira.

ISURKETAK. Udalak isurketak kontrolatzeko protokoloa ipini du martxan, eta espero dugu horrekin isurketa gutxiago egotea. Dena dela, udalari eskatzen diogu portuan eta Saturraranen egoten diren isurketak salatzeko, eta Jaurlaritzari eta Mutrikuko Udalari ardura gehiago eskatzeko. Gainera, herrian ere ur zikin batzuk errekara joaten dira oraindik. Udalak saneamendua amaitu behar du, ur zikin guztiak araztegira bidaltzeko.

ETXEBIZITZA. Herrian 500 etxe daude hutsik eta udalak erabakiak hartu behar ditu herrian alokairu soziala bultzatzeko.

No a la incineración de residuos en la cementera de Portland

errauskailua

NO A LA INCINERACION DE RESIDUOS EN LA CEMENTERA DE PORTLAND.   Desde la plataforma 3Mugak Batera se ha comenzado un envio masivo de sugerencias  para la elaboración del PIGRN (Plan de Gestión de Residuos de Navarra) y tratar de que el nuevo plan no contemple la quema de residuos en la cementera de Portland. Por lo que también desde EGUZKI te animamos a enviar esta sugerencia a la siguiente dirección de correo: residuos@navarra.es

Asunto: Sugerencias al PIGRN 2015-2025

Mediante el presente escrito, en el proceso de participación para la elaboración  de un nuevo PIGRN, me persono, y presento las siguientes sugerencias.

Respecto a que se quemen los residuos en la Planta de Cementos Portland de Olazti.

La incineración o la combustión de residuos es la forma más peligrosa de gestión de los residuos, tanto se realice en instalaciones de Valorización Energética o, mucho más peligroso si cabe, aprovechando unas instalaciones diseñadas para otros procesos.

El PIGRN anterior descartaba para la realización de esa actividad, entre otras, la zona de la Sakana, al no reunir las condiciones que para la implantación de una moderna Planta de Valorización Energética se establecían. Requisitos en cuanto a distancias de alejamiento de las poblaciones, Parques Naturales, acuíferos etc, que no podía cumplir una instalación ubicada en ese Valle.

Por otra parte, una moderna planta para quemar residuos como la prevista en el PIGRN anterior sería ilegal con los límites de emisión aplicados a las instalaciones de Pórtland, mucho más altos que los de aquella.

Se deben tener en cuenta los numerosos informes médicos que alertan sobre el exceso de mortalidad por cáncer  en zonas próximas a plantas que llevan a cabo actividades de quema de residuos, especialmente en cementeras.

Se debe respetar la voluntad de las zonas afectadas y tener en cuenta el rechazo social e institucional generado. Más de 12000 personas han participando en las manifestaciones realizadas Las más de 11000 firmas y alegaciones presentadas. La frontal oposición de Mancomunidades, ayuntamientos y diputaciones, que han exigido la paralización definitiva del proyecto de quema de residuos en la cementera de Portland de Olazti.

Por todo lo cual, exijo que se descarte de forma efectiva la incineración/valorización energética como forma de gestión de residuos en cualquier instalación, y especialmente  el proyecto de quema de residuos en la cementera de Pórtland. Que en ningún caso esa actividad y esas instalaciones queden amparadas por un nuevo PIGRN.

En su lugar, la nueva redacción del Plan de Gestión de Residuos debe tender a la aplicación de políticas conducentes a lograr el residuo cero bajo la premisa de las 3Rs, Reducción, Reutilización y Reciclaje.

Nombre y apellidos:

DNI:

Adjunto esta sugerencia al portal de participación para que sea tomada   en cuenta para la redacción del nuevo PIGRN.

Udalak eta energiak berriztagarriak

argia Lea Artibaiko udalei eskatzen diegu energia berriztagarrien kontsumo kooperatibekin hitzarmenak sinatzeko.Otsailaren 24an hitzaldi bat antolatu genuen Ondarroan. Bertan, Goiener kooperatiba ezagutu genuen. Kooperatba horietako kideek energia berriztagarrietatik lortutako energia kontsumitzen dute (jatorria zertifikatuta daukana), eta irabaziak energia berriztagarrietan inbertitzen dituzte. Euskal Herriko erakunde publiko gero eta gehiago dira halako kooperatibetako bazkide.

Lea Artibai eskualdeko udal guztiei eskatzen diegu halako kooperatiba baten bazkide egiteko, kontsumitzen duten energia guztia berriztagarria izateko eta arlo horretan inbertitzeko. Hori eskatzeko gutunak bidaliko ditugu udaletxeetara hurrengo asteetan.

Saturraran erreka gurpil zaharrez beteta dago

dsc_0820[1]MUTRIKU.

Saturraran errekan ainbeste gurpil zahar daude. Gero eta gehiago. Ez dakigu itsasoak ekarritakoak diren edo jendeak botatakoak.  Mutrikuko udalari eskatzen diogu gurpil horiek jaso eta eroan behar diren lekura eroateko. Eta jendeari eskatzen diogu gure ibaiak zaintzeko. Gure errekak ez dira zabortegi bat!

Fukushima: konponketa 40 urte barrurako

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Iturria: ARGIA. Urtea amaitzear zela Fukushimako zentral nuklearra kudeatzen duen TEPCO enpresa japoniarrak berri bat eman zigun: laugarren erreaktoreko piszinan zeuden 1.533 erregai haga beste piszina seguruago batera eraman izana.

1.331 haga erabilitakoak ziren; beste 202ak, berriz, erabili gabeak. Oraindik zentral nuklearrean badaude ere, leku seguruagoan jarri dituzte. Urtebete iraun du lanak, eta oso baldintza gogorretan egin dute. Oraingoz ez dirudi langileengan osasun arazorik sortu denik, ez behintzat berehalakorik. Baina arazoak gerora ere ager daitezke.

Teknikoki urrats garrantzitsutzat plazaratu dira lanak; lerro hauetan maiz aipatu dugun bezala, ez dugu ahaztu behar Fukushima une honetan laborategi esperimentala dela. Poztekoa da, beraz, operazioan izandako arrakasta.

Hala ere, kezkatzeko arrazoirik badago. Laugarren erreaktorearen gunea, antza, ez dago kaltetuta, eta lehenengo eta hirugarren erreaktoreen guneak aldiz bai. Zer esan nahi du horrek? Bi erreaktore horietako piszinetatik erregaia ateratzea beste kontu bat dela. Lehen erreaktoreetakoa ateratzeko lanak 2015-2016 urteetan hasi nahi dituzte, eta hirugarren erreaktoreetakoak 2017-2018an. Lanen iraupena gutxienez 40 urtekoa izango omen da. Zergatik? Nondik hasi ez dakitelako, guneetako benetako egoera ezagutzen ez dutelako eta lurrazpiko uren nondik norakoa kontrolatzen ez dutelako.

40 urteko epea ezartzea arazoaren kudeaketa hurrengo belaunaldien esku uztea eta “ez dakigu zer gertatuko den esatea da. Eta okerragoa dena, belaunaldi oso batez, gutxienez, Fukushimak erradioaktibitatea igortzen jarraituko duela aitortzea

 

Microplásticos ‘anegan’ los fondos marinos

Itsas sakonaIturria: www.sogam.es

El estudio demuestra que las ingentes cantidades de plástico que no se sabía dónde estaban, en realidad se habían desmenuzado en fibras microscópicas que se han ido acumulando, y continúan haciéndolo, en los fondos del mar a escala planetaria y muy lejos de las áreas de producción.Según un estudio internacional publicado por la Royal Society Open Science, y en el que han participado investigadores de la Universidad de Barcelona, así como científicos de la Universidad de Plymouth y del Museo de Historia Natural de Londres, la contaminación por microplásticos llega a las regiones oceánicas más remotas, pudiendo encontrarse en algunos fondos marinos hasta 4.000 millones de fibras microscópicas de plástico por cada kilómetro cuadrado, especialmente rayón, poliéster, poliamidas, acetato y material acrílico. De hecho, según los expertos, la concentración de fibras microscópicas de plásticos en los mismos es hasta cuatro veces más alta que en profundidades menores.

Por tanto, el estudio demuestra que las ingentes cantidades de plástico que no se sabía dónde estaban, en realidad se habían desmenuzado en fibras microscópicas que se han ido acumulando, y continúan haciéndolo, en los fondos del mar a escala planetaria y muy lejos de las áreas de producción.

ESTUDIO ALTAMENTE RELEVANTE

Los resultados del estudio son altamente relevantes en el contexto de la Directiva Marco sobre la Estrategia Marina de la Unión Europea y de otras iniciativas de carácter global, pues la presencia, composición e impactos de los desechos de todo tipo, en particular los de carácter plástico, constituye uno de los indicadores del estado ambiental de los océanos.

Resulta evidente que los desechos plásticos marinos son un problema mundial que afecta a la vida silvestre, el turismo y el transporte marítimo. Sin embargo, en las últimas décadas no se ha visto aumentar su concentración en la superficie del mar a lo largo de las costas. Esto puede deberse a que los micro plásticos se han hundido hasta el fondo del océano.

Para llevar a cabo este trabajo, los oceanógrafos participantes han analizado muestras de sedimentos y corales profundos recogidos en 16 puntos del mar Mediterráneo, Atlántico nororiental, Ártico e Índico meridional.

Los investigadores se muestran alarmados por haber encontrado niveles tan altos de contaminación, especialmente cuando no se conoce el efecto completo de estos plásticos sobre el delicado equilibrio de los ecosistemas de aguas profundas, toda vez que los grandes fondos marinos abarcan más de 300 millones de kilómetros cuadrados en la Tierra.

El jefe del grupo de investigación de Geociencias Marinas de la Universidad de Barcelona, el catedrático Miquel Canales, ha manifestado que el estudio es una contribución del proyecto Perseus, financiado por la Comisión Europea, y centrado en la investigación ambiental orientada al establecimiento de políticas de gestión en los mares del sur de Europa.

SOBRE PERSEUS

El proyecto Perseus (Protection of European BoRders and Seas through the IntElligent Use of Surveillance), liderado por Indra, multinacional española de tecnologías de la información, tiene por objeto la protección de los mares europeos y sus fronteras mediante el uso inteligente de la tecnología.

Iniciado en el 2011, cuenta con un presupuesto de 43,7 millones de euros, de los cuales 27,8 provienen de los Fondos de la Unión Europea, y en el mismo participan 29 socios de 12 países europeos, mayoritariamente con fronteras marítimas.

Con una duración de cuatro años, constituye una de las primeras y más importantes iniciativas financiadas al amparo del VII Programa Marco de I+D de la UE, siendo el proyecto más emblemático en el área de seguridad marítima, integrando sistemas nacionales y europeos existentes.

 

 

Estado Español incompetente con la Red Natura 2000

pottokak Iturria: Europapress.

Una quincena de ONG ambientales ha remitido una carta a la Comisión Europea para que tome medidas e inste al Gobierno del Reino de España a que asuma sus responsabilidades en el cumplimiento de la normativa europea más importante de protección de la biodiversidad.

“Solicitamos a la Comisión Europea que tome las medidas necesarias para que el Gobierno Español asuma sus responsabilidades en el cumplimiento de la normativa europea más importante de protección de la biodiversidad. Es decir, las comunidades autónomas deben aprobar planes de gestión que cumplan con los requisitos de la Directiva Hábitat, y hacerlo con una amplia participación y el MAGRAMA debe ejercer la labor de coordinación adecuada para asegurar que esto se cumple”, ha manifestado responsable de Red Natura 2000 en WWF España, Gema Rodríguez.

Según ha informado WWF, una de las firmantes, la denuncia llega después de dos años a cuatro años de retraso en la obligación de aprobar los instrumentos de gestión y designar las correspondientes ZEC (Zonas Especiales de Conservación). Así, señala que ante el “inminente” riesgo de sanción por parte de la Comisión Europea por incumplimiento de la Directiva Hábitat y Directiva Aves, muchas comunidades autónomas han comenzado una “aprobación masiva de los planes” con un contenido bastante deficiente y sin contar con la necesaria participación ciudadana en la mayor parte de los casos.

Las ONG reconocen el esfuerzo realizado por las administraciones autonómicas para elaborar los planes de gestión pendientes, pero lamentan que este se haga “únicamente para cumplir el expediente”, aprobando planes de gestión “deficientes” y “sin una adecuada participación”.

En la misiva alertan a la CE de la “falta de participación” y de las “graves deficiencias” encontradas en la “avalancha” de planes de gestión que se están aprobando en comunidades autónomas como Andalucía, Castilla y León, Extremadura, Galicia y Castilla-La Mancha, para designar las correspondientes Zonas Especiales de Conservación (ZEC).

SIN PARTICIPACIÓN

La carta denuncia que estos planes de gestión de la Red Natura realizan una “injustificada simplificación de prioridades de conservación” y no fijan objetivos de conservación para todas las especies y hábitat de interés comunitario, con presencia significativa en el espacio. Además, valoran que en los casos en los que se fijan se hace de forma “poco concreta, genérica y no medible”.

Asimismo, denuncian que en la mayoría de comunidades autónomas no se han realizado talleres ni reuniones participativas con los agentes locales interesados para la elaboración de los planes y que los plazos para los procesos de información pública de los mismos han sido, en ocasiones “irrisorios”.

De este modo, pone de ejemplo a Castilla y León que ha sacado recientemente a información pública 436 instrumentos de gestión, habiendo habilitado únicamente un mes de participación pública para hacer comentarios y alegaciones (después ampliado a 15 días más). El caso de Extremadura ha sido similar, con cerca de 100 planes puestos en información pública durante únicamente un mes de plazo.

Por otro lado, añaden que estos planes carecen de detalle sobre las prácticas a respetar por los propietarios o gestores de explotaciones en Natura 2000, lo que impedirá la activación de las ayudas previstas al efecto en el Reglamento FEADER, en detrimento de la rentabilidad económica de dichas explotaciones.

Por ello, advierten de que la “ambigüedad” de las medidas de gestión supone además una alta inseguridad para los agricultores, ganaderos y silvicultores, que no saben qué prácticas agrarias tendrán que adaptar, modificar o limitar para su compatibilización con los objetivos de conservación.

“La mala calidad de los planes de gestión de espacios de la Red Natura 2000 que se están aprobando no sólo no permitirá al estado español avanzar en sus objetivos de conservación de la biodiversidad de interés europeo, sino que además perjudica claramente al desarrollo rural”, subrayan las ONG.

Ondarrutarron gabonetako oparia: zaborra!

ondarru 5 Hauxe izango da ondarrutarrok Larrabetzu, Lemoa, Alonsotegi edo Zallako herritarrei bidaliko diegun oparia: zaborra. Euren herrietako zabortegietan botatzeko milaka kilo zamar.

ondarru 1 txondarru 3 txondarru 4 tx Zabor horretan joango dira birziklagarriak diren material asko (plastikoak, kartoiak, organikoa…) eta Bizkaiko zabortegietan usteltzen eta kutsatzen amaituko dute.

Ea urte berriarekin ohiturak aldatzen ditugun. Ea urte berriarekin gehiago birziklatzen eta zabor gutxiago sortzen dugun. Denon osasunak eskertuko du!

Desguazea, zikina eta arriskutsua

ondarroa txiki

Desguazea

Behin baino gehiagotan salatu izan dugu Ondarroako txalopentzako desguazearen egoera: ez dauka segurtasun kontrolik, metal eta pintura partikulak airera eta itsasora isurtzen ditu… horren erakusgarri, gaur gertatu dena: bertan zatitzen ari diren txalopa batek su hartu du, eta kea portu guztian zabaldu da. Anekdota bat ematen du, baina ez da. Askotan ur gainean eta gasoil depositoen alboan egiten dituzte desguazeak. Desguaze horretan gauzak txarto egiten dira, eta kalteak denontzako dira. Adibidez, inguru horretan ibiltzen diren arrainek metal pisutsu asko edukitzen dute, EHUko ikerlarien arabera.

Jaizkible ez ikuttu!Superporturik ez!

Abordaia

Ondarroako Eguzkik neurri hauek eskatzen ditu desguaze horren kalteak txikitzeko: ur gainean txaluparik ez desguazatzea, “arlanpan” dike bat egitea, lurrera erortzen diren partikulak itsasora ez joateko… Neurri hauek hartuta desguazeak ingurumenean eta pertsonetan eragiten dituen kalteak txikituko dira.